Livrer partout dans le monde et bien le faire

Être une marque mondiale et limiter son impact sur l’environnement est un gros dilemme à gérer

100%

Le bateau est privilégié avant la livraison locale en camions optimisés

Ne jamais utiliser l’avion pour transporter nos produits, c’est notre engagement depuis la création de Picture en 2008.

Le chargement d’un seul navire de taille moyenne représente l’équivalent de l’envoi de 1000 avions Airbus A380. Une tonne de marchandise transportée par voie fluviale émet en moyenne 4 fois moins de CO2 que par route, et environ 40 fois moins que par avion.

De nombreux produits à transporter dans de nombreux pays

450 000

Produits à transporter

40

Pays revendeurs soit environ1300 magasins

Pour limiter nos émissions CO2 liées au transport, le modèle de production ultime serait de déployer plusieurs unités de production en fonction des lieux de consommation : Amérique du Nord, Europe et Asie/Océanie par exemple. Cela diviserait nos volumes totaux par 3 et mécaniquement notre capacité à faire des économies d’échelle. Cela diminuerait aussi la maitrise et la transparence des chaines d’approvisionnements que nous pouvons avoir actuellement.

Enfin, pour être totalement cohérent, cela voudrait aussi dire de sourcer les matières premières localement.

Techniquement, c’est possible et ce serait un must pour diminuer notre impact. Cependant, pour l’instant, c’est inadapté à notre activité, à nos volumes et nos capacités logistiques.

Et le train ?

C’est notre plan à moyen terme. S’il se développe, le transport ferroviaire ne représente que 15% du trafic intra-européen de marchandises. Il reste anecdotique entre l’Asie et l’Europe avec 1% du trafic, même si les volumes ont augmenté de 25% en cinq ans.